Releases and Points of Sale
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"Piazzolla's Dream" with flutist James StraussJanuary 15, 2022 "Piazzolla's Dream" with flutist James Strauss |
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Nuevo CD virtual: Music from HomeDecember 19, 2020 La pianista argentina de trayectoria internacional Marcela Roggeri presenta su nuevo CD MUSIC FROM HOME, en versión digital, producido por DAG Klassical. Grabado íntegramente en 2020, desde su casa en Londres durante el período de aislamiento social, el trabajo contiene obras de D. Scarlatti, Hahn, Debussy, Fauré, Satie, Rimsky-Korsakov, Schumann, Granados, Gershwin, Lecuona, Calandrelli, Aguirre, Villa-Lobos, Ginastera, Ramírez y Piazzolla. Participa como invitado el flautista brasileño James Strauss. MUSIC FROM HOME está disponible en todas las plataformas digitales: Spotify, Itunes, Deezer, Qobuz, YouTube Music, Amazon. El ecléctico repertorio que aborda Marcela Roggeri en este CD es parte del que grabara durante la "cuarentena" londinense, y cuya totalidad se encuentra subido al canal de YouTube de Marcela Roggeri. MUSIC FROM HOME |
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2020: new CD out!
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Clásicos y PopularesSeptember 14, 2018 Marcela Roggeri Facundo Ramirez EnglishBy Diego FischermanThe sound recording and the emergence of the mass media changed forever the boundaries of what had been considered artistic music. These modified the scope of the "classical" but also of the popular music, which stopped being the one made by the people to become that made for the people. The word "popular" ceased to refer to popularity. An aria by Donizetti sung by the Three Tenors at the closing of a World Cup has, in fact, much more popularity than an introspective improvisation by Bill Evans or Dino Saluzzi. But, in spite of that, the words "classical" and "popular" still have a meaning for music listeners. What is being meant is, rather, the preferred materials for those types of music. And possibly about the traditions to which belong the procedures put into play with these materials by the musicians. But, evidently, the mutual exposure between such different traditions produced contamination and cross fertilization. There are many examples but, to name just a few: it is difficult not to listen to Béla Bartók inside "Libertango" by Astor Piazzolla, or Igor Stravinsky in the Sonata for two pianos in "A Fuego Lento" by Horacio Salgán; to Edward Grieg in Gato No. 1 by Ariel Ramírez or the musicians of the popular peñas in the very refined "Bailecito" by Carlos Guastavino. Marcela Roggeri and Facundo Ramírez, both pianists trained by the same teachers –and with the same techniques– have developed their careers on lines where these possible musical paths diverge: she has done so in her versions of Satie, Domenico Scarlatti or Gubaidulina (also Guastavino and Piazzolla); he, in his interpretations of those small masterpieces that make up the rich heritage of the artistic creation of popular tradition in Argentina. And yet they naturally find the convergence in those areas where the musicians that belong to a tradition know how to feel tempted by the materials and processes of the other. Here, there is no pretension or imposture; nor preciosity. The danger of the "stylization" with which the condescending classical, ranks the popular in a “musical hierarchy” is kept at a distance. This recording do not seek to provide improvements to one or the other kind of music but simply of some marvelous music in which elements of different provenance seduce, disturb, circle around each other; and finally, give their best, born in the -magical, elusive- contact of one with another. FrançaisPar Diego FischermanL'enregistrement du son et l'apparition des moyens massifs de communication ont changé à jamais les limites de ce qui était considéré comme musique artistique . Ils ont modifié la portée du « classique » mais aussi du populaire, qui a cessé d'être quelque chose fait par le peuple pour devenir quelque chose fait pour le peuple. Le mot “populaire”, a cessé de se référer à la popularité. Un aria de Donizetti chanté par les Trois Ténors à la clôture d'un Mondial de football a en effet beaucoup plus de popularité qu'une intime improvisation de Bill Evans ou de Dino Saluzzi. Mais malgré cela, les mots « classique » et « populaire » gardent toujours un sens auprès des auditeurs. Ce dont on parle alors, c'est plutôt des matériaux avec lesquels ces musiques dialoguent de façon privilégiée. Et éventuellement, de la tradition à laquelle appartiennent les procédés que les musiciens mettent en jeu avec ces matériaux. Mais naturellement, la mutuelle exposition entre traditions distinctes a entraîné des contaminations, des emprunts et des mélanges. Les exemples sont nombreux mais, pour n'en citer que quelques-uns, il est difficile de ne pas entendre Bela Bartok à l'intérieur de « Libertango » d'Astor Piazzolla ou le Igor Stravinsky de la Sonate pour 2 pianos dans « A fuego lento» de Horacio Salgan, Edward Grieg dans le Gato N°1 de Ariel Ramírez ou les musiciens des ensembles populaires dans le si délicat « Bailecito » de Carlos Guastavino. Marcela Roggeri et Facundo Ramírez, pianistes tous les deux, et formés par les mêmes maîtres –et les mêmes techniques- ont développé leur carrières sur les lignes où ces possibles chemins musicaux divergent : elle, dans ses versions de Satie, Domenico Scarlatti ou Gubaidulina (mais aussi Guastavino et Piazzolla), lui dans ses interpretations de ces petits chefs-d'œuvre qui composent le richissime patrimoine de la création artistique de tradition populaire en Argentine. Et ils trouvent, de façon naturelle, à la convergence dans ces zones où les musiciens se laissent tenter par les matériaux et les procédés de l'autre. Il n'y ni affectation ni imposture. Rien d'alambiqué non plus. Le danger de la « stylisation » avec laquelle le classique, condescendant, « hiérarchise » le populaire, est gardé à distance. Il ne s'agit pas d'améliorations d'aucune sorte mais, seulement, de quelques musiques merveilleuses dans lesquelles des éléments d'origine diverse se séduisent, s'émeuvent, se cherchent pour finalement donner le meilleur d'eux-mêmes, précisément dans le contact –magique, insaisissable- entre les uns et les autres. |
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Astor Piazzolla - Une Histoire de TangoSeptember 14, 2016
Le tango, quelle histoire !Piazzolla en a révolutionné le genre, et ses compositions sont déjà de grands classiques. « Une histoire de tango » réunit une pianiste argentine et un clarinettiste français, comme pour célébrer ce lien particulier qui unit Astor Piazzolla à la France. Le piano fait partie de la nomenclature traditionnelle de cette musique. À la fois mélodique, rythmique ou harmonique, délicatement chambriste ou puissant comme un petit orchestre. Quant à la clarinette elle partage avec le bandonéon le jeu du souffle et des anches, et avec le violon, la capacité de chanter et d'émouvoir. Les arrangements utilisent la variété expressive des clarinettes, tour à tour incisives, lyriques ou tendres. "Pourquoi ma musique est si dramatique, alors que je ne le suis pas ?" s'interrogeait Piazzolla. Voici seulement deux musiciens pour porter cette musique intense, pour ainsi dire, un "Piazzolla da camera" pour exprimer ce concentré d'émotions. |
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Padre Antonio Soler : Fandango & SonatasOctober 08, 2011 Digipack 1 CD - Durée : 75'04 - Enregistré en concert en août 2006 au Grand Théâtre de Reims, dans le cadre des Flâneries Musicales d'Eté de Reims. Enregistrement & postproduction : Aline Blondiau pour Musica Numeris Piano Steinway & Sons préparé par Régie Pianos |
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Astor Piazzolla: Marcela Roggeri - Magali LégerNovember 16, 2010 |
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Carlos Guastavino: Marcela Roggeri - Florent HéauNovember 16, 2010 |
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Marcela Roggeri - Sofia GubaidulinaJanuary 10, 2009 Complete Works for solo piano Live recorded in August 2007 in the Reims Maison Diocésaine Saint-Sixte, Festival: Flâneries Musicales D'été de Reims. "Il convient tout d’abord de saluer la remarquable prestation de la pianiste argentine (aujourd’hui basée à Londres) Marcela Roggeri, et de souligner, comme cela semble être le principe chez Transart, la qualité de la captation en concert (insoupçonnable, autant par l’absence de bruits parasites que par la perfection du jeu de la soliste qui démontre qu’il est possible d’exécuter en direct des prescriptions s’apparentant à la « préparation » du piano comme c’est le cas pour la Sonate). Le jeu de Marcela Roggeri est limpide, son implication dans la lecture de ces pages contemporaines souligne le rapport privilégié qu’elle entretient avec cette musique, jouée avec la même autorité qu’elle peut mettre à interpréter Scarlatti" www.classiqueinfo.com, 21 Avril 2010 Reviews: www.musicalcriticism.com/recordings/cd-roggeri-gubaidulina-0409.shtml www.allmusic.com/album/gubaidulina-complete-piano-works-w267022
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Marcela Roggeri - Domenico ScarlattiMay 22, 2006 Recorded live in July 2005, during the festival "Fl?neries Musicales" in Reims (France) / Enregistré en concert en juillet 2005 au Man?ge de Reims dans le cadre des Fl?neries Musicales d'Eté de Reims. "Exercices pour se délier les doigts ou éprouver les limites de sa propre virtuosité ? Ou, gr?ce à l'humeur articulée et malicieuse de la pianiste argentine Marcela Roggeri, une palette d'émotions libres, exaltées et exaltantes, qui fouettent les moteurs de la technicité comme elles stimulent les caprices de la pensée?...
"Marcela Roggeri apporte une touche féminine, toute en délicatesse, en douceur. Avec elle, Scarlatti est un musicien des sentiments, un po?te de l'ornamentation. Le toucher est ferme sans etre appuyé, l'aspect piquant qui aurait pu résulter d'une interprétation au clavecin est totalement gommé pour mieux arrondir les sonorités.
"Marcela Roggeri réussit à bien caractériser chaque sonate et trouve d'instinct le ton juste, la pulsation idoine. Jouant le jeu du "live". Marcela Roggeri a réussi un disque à la fois spontané et généreux. Une Victoire de la musique dans la catégorie "révélation internationale" bien méritée. On a hate d'entendre le programme Soler qu'elle prépare." |
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Marcela Roggeri - Erik SatieJune 01, 2005 Recorded Live in August 2004 at the Conservatoire and Cirque in Reims, during the festival "Fl?neries Musicales de Reims".
***": "Son approche de l'oeuvre de Satie est sèrieuse et ne recherche ni l'en-de?à ni l'au-delà des notes... Les qualitès purement pianistiques de Marcela Roggeri ne peuvent laisser indiffèrent"
"Marcela Roggeri qui poss?de un excellent sens de la pulsation (Je te veux, Le Piccadilly) a tout a fait raison de ne pas en rajouter sur le plan expressif dans les Gnossiennes et Gymnopèdies, tr?s posèes et subtiles, à l'opposèe de la sur-interprètation ètrange et fascinante de Patrick Cohen. On aurait pu espèrer un caract?re plus ludique, avec une variètè de toucher plus grande, par exemple dans la Fantaisie-valse, mais il est èvident que Marcela Roggeri dispose là d'une excellente carte de visite." -- Christophe Huss
"Recorded at the Reims Flaneries Musicales in Summer 2004, this concert by the Argentinian pianist Marcela Roggeri reveals the experience and talent of a passionate and sincere artist. This pupil of one of the great masters of our century, the brilliant Bruno Leonardo Gelber, approaches Erik Satie's music with unusual sensuality and power. 'A true musician must be obedient to his Art,' wrote Satie, 'he must be above human suffering; he must find courage within himself, and only within himself.' Marcela Roggeri confirms the truth of these words and pays tribute to the free-mindedness of the avantgardist and pioneer." "La pianiste argentine Marcela Roggeri nous offre un programme enti?rement dèdiè à Satie (?uvres de 1888 à 1919), ce qui n'est pas forcèment sans risques. D'autant qu'il s'agit d'enregistrements de concert lors des Fl?neries Musicales de Reims. Mais elle rel?ve le gant avec brio : entre fougue latino-amèricaine et fantaisie à la fran?aise, elle sait distiller cette musique bien moins simple qu'elle n'y para?t, la musique d'un ?tre dèjà blessè, dangereux car il sait qu'il peut survivre ? malgrè l'incomprèhension de ses contemporains qui ne voyaient en lui qu'un aimable bouffon faisant grand usage du persiflage, de clins d'?il, de citations...
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Music for two pianos - Aaron CoplandJune 22, 2004 Marcela Roggeri & Marcelo Bratke |